Coaching PNL - l'attitude gagnante

Il n’y a pas d’échecs, il n’y a que des apprentissages…

Coaching PNL - l'attitude gagnante

L’échec n’existe pas, seuls existent les résultats” : voilà une attitude gagnante inspirée des plus grands champions, qui fera de vous aussi un vainqueur et vous assurera de nombreux succès, si vous la comprenez, et apprenez à l’appliquer au quotidien. Car si les plus grands coachs, tels Richard Bandler, créateur de la PNL, ou encore le très célèbre Tony Robbins en ont fait leur fil rouge, ce n’est pas sans raison !

La plupart des gens ont été programmés pour redouter ce qu’on appelle l’échec. Mais pour les gens qui réussissent, l’échec ne compte pas, il s’agit simplement d’un feedback. Car « tout est apprentissage… » nous confie Anthony Robbins.

« Les gens qui croient à l’échec s’assurent presque toujours une existence médiocre. Il n’y a pas de spectacle plus désolant qu’un jeune pessimiste », disait aussi Mark Twain. Et il avait entièrement raison, car c’est notre imaginaire qui crée notre réalité.

Ainsi, « les gens qui croient à l’échec se programment pour une existence médiocre. En revanche ceux qui réalisent de grandes choses ne croient pas à l’échec. Ils n’associent pas de sentiments négatifs aux entreprises qui n’aboutissent pas », martèle encore Tony Robbins dans ses séminaires de développement personnel.

Et Abraham Lincoln est probablement l’un des meilleurs exemples pour illustrer cela.

Né dans la pauvreté, il a su surmonter toutes les défaites de sa vie. Il a perdu vingt-trois fois les élections, a perdu sa compagne et a fait deux faillites d’affaires, suivi d’une dépression nerveuse durant laquelle il a dû rester alité six mois. Il avait suffisamment de raisons pour maudire son sort et jeter l’éponge, et abandonner de nombreuses fois, mais il ne l’a pas fait. Et parce qu’il n’a jamais abandonné, il est devenu l’un des plus grands Présidents des Etats-Unis.

Un champion n’abandonne jamais, et Lincoln a adopté l’attitude du champion. Il a ainsi créé cette réalité qui l’a amené à réaliser ses plus grands desseins.

Voilà l’aperçu du chemin parcouru par Lincoln avant d’arriver à la Maison Blanche :

  • A 16 ans, lui et sa famille furent chassés de leur maison, il doit travailler pour subvenir aux besoins de sa famille.
  • Mort de sa mère à ses 18 ans
  • Faillite à l’âge de 31 ans
  • A 32 ans, il se présente aux élections législatives, il est battu. Il perd son emploi et il est refusé au concours d’admission de l’université de droit.
  • A 34 ans, il emprunte de l’argent à un ami et fait une nouvelle faillite. Il passera 17 ans de sa vie à rembourser ses dettes.
  • A 35 ans, il vit mourir sa compagne avec laquelle il projetait de se marier
  • Dépression nerveuse à 36 ans, il resta alité 6 mois
  • Battu aux élections locales à 36 ans
  • Battu aux élections au Congrès à 43 ans
  • Battu aux élections au Congrès à 46 ans
  • Battu aux élections au Congrès à 48 ans
  • Battu aux élections au Sénat à 55 ans
  • Avec moins de 100 voix, il fut évincé des élections de la Vice-présidence à 56 ans
  • Battu aux élections au Sénat à 58 ans
  • Elu président des Etats Unis à l’âge de 60 ans !

Pensez-vous que cet homme serait devenu Président s’il avait considéré ses vingt trois défaites aux élections comme des échecs ?

Peut-être que son histoire peut nous aider à réaliser que nous pouvons tous être maîtres de notre destin. Il existe beaucoup d’Abraham Lincoln parmi nous, peut-être l’êtes-vous sans le savoir…

Belle journée à tous ET n’abandonnez jamais !

Sandrine & Dominik Hansen

  1. Lacaze Labadie a laissé un commentaire sur 7 avril 2020 at 15 h 48 min

    Cela questionne en filigrane aussi sur… l’ambition, notre rapport à l’ambition et à la réussite. Nous ne sommes pas formés, acculturés, calibrés en étant capables de formuler ce que nous ambitionnons indépendamment du regard de l’autre et de notre propre regard. Nous sommes formés, élevés dans le jugement, la comparaison, l’idée de ce qu’est la réussite, de ce que sont les possibles au regard du milieu dont nous sommes issus. Lincoln est d’autant plus exceptionnel que rien de ses origines ne peut laisser présager de son devenir. Mais il est exceptionnel, une exception qui devrait de ce fait confirmer une règle… celle de se contenter de ce que l’on a déjà sans prendre trop de risques de peur de perdre… et je tourne en boucle… entre ce qui pourrait me servir de guide et que je classe dans les exceptions qui vient ainsi illustrer que la règle générale qui n’est donc pas l exception (ici l’exceptionnelle réussite) mais bien le reste, c’est à dire la masse de ceux qui se contentent, font avec ce qu’ils ont, en limitant les risques avec un outil de mesure très efficace celui de la crainte de perdre le peu qu’ils ont gagné et conservé…
    alors allons nous prendre le risque de réussir?… ou quel risque prenons nous en visant l’exceptionnelle réussite? La réussite est elle risquée ? Quelle question, formulation devons nous poser, exprimer, ressentir pour sortir de ces boucles et faire de la réussite un objectif réaliste, atteignable, commun et surtout qui n’est plus parasité par la crainte ?… Et soyons fous comment inverser cette vision du monde sans naïveté, avec lucidité sans utiliser un modèle emprunté au secteur marchand (gagner, performance, force, compétition, domination …) comment accompagner, coacher une personne qui penserai de la sorte?
    Je serais curieuse de connaître l’objectif intime de Lincoln qui lui a permis une telle endurance.

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