Limites et contre-indications de l’hypnose éricksonienne

Certaines situations doivent inciter à la prudence, voire même à éviter un soin par l’hypnose éricksonienne. Ce sont, par exemple, les dépressions sévères, les psychopathologies, les troubles graves de la personnalité, la schizophrénie, et la paranoïa.

Si l’hypnose est utilisée dans ces circonstances, elle ne sera qu’un éléments de la réponse thérapeutique. Elle est alors  intégrée dans un soin plus complexe d’ordre médical, ou psychiatrique.

L’hypnothérapeute n’est ni médecin, ni psychologue, ni psychiatre, ni psychothérapeute. Il ne fait donc pas de diagnostics, ne soigne pas et ne guérit pas. Ses prestations ne prétendent en aucun cas se substituer à un acte médical ou à des prescriptions médicamenteuses.

Les séances d’hypnose s’inscrivent uniquement dans une démarche de bien-être. Elles ne dispensent pas de consulter un professionnel de la santé, chaque fois que cela est nécessaire.

Toute question relevant du domaine médical est à poser à votre médecin traitant.